Ludovic Berger m’avait prouvé ses dispositions littéraires lorsqu’il était journaliste et rédacteur en chef de L’Yonne républicaine, en particulier lorsqu’il était à la rubrique sportive quand j’exerçais mes fonctions d’entraîneur. Se mettre à la disposition des gens, être écrivain public en quelque sorte comme il le fait désormais, est extrêmement nécessaire aujourd’hui où personne ne prend plus la peine de prendre un stylo. C’est une très bonne fonction. Beaucoup de gens ne savent plus écrire. Ceux qui veulent se raconter, exister au-delà de leur vie, transmettre aux jeunes générations, ont à leur disposition Ludovic.